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La réponse tient au fait que l' sociale, les , le secteur bancaire et financier, les marchés, l' des biens de consommation et les individus sont réglés sur l'hypothèse d'une croissance constante. Et pour celle-ci, un large éventail de politiques, incluant les systèmes fiscaux, a été con?u.
La croissance est supposée par le biais de l'imp?t les caisses publiques, et agences de notation et marchés financiers. Elle devrait de réduire le taux de ch?mage, d'accro?tre les revenus des ménages et donc de la demande de biens.
Qu'est-ce qui rend si forte cette fixation sur la croissance économique, et pourquoi nous y accrochons-nous ainsi ?
Il s'ensuit que l'activité de ce secteur industriel ralentit, entra?nant une croissance du ch?mage qui se conjugue avec la diminution des revenus, etc. Bref, une situation que chaque politicien cherchera à éviter.
Nous avons aussi une solide expérience en matière de réduction du temps de travail qui pourrait être utilisée pour une meilleure répartition des emplois. Des pays comme l', l' ou la Suisse ont démontré qu'un système étendu d'apprentissage permet de significativement le ch?mage des jeunes.
R?DUCTION DE LA FRACTURE SOCIALE
CROISSANCE DU CH?MAGE ET DIMINUTION DES REVENUS
Or les solutions font ici défaut. Cela peut aussi être la raison pour laquelle les problèmes liés tant à la croissance qu'à la à la croissance font l'objet d'un tel déni. Aussi longtemps que politiciens et société ignoreront comment nos économies et notre protection sociale pour dépasser notre addiction à la croissance, nous ne devons pas nous [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] à un abandon du paradigme de la croissance.
Tout porte à que ces problèmes sont aggravés par la croissance économique et les politiques la mettant en oeuvre, et que la crise économique, financière et budgétaire à laquelle nous sommes confrontés trouve sa source dans la croissance visée par nos s et nos économies.
Simultanément, il devient évident que la croissance économique n'est plus la solution à nos défis majeurs tant en matière sociétale qu'économique.
Selon lui, les principaux ressorts de ce syndrome ont été le bon marché, le besoin de reconstruction suivant la seconde guerre mondiale et le modèle "d'une société fordiste de " qui s'est développé avant-guerre aux Etats-Unis pour être adopté après-guerre par les pays occidentaux. [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] Depuis, les indices de croissance ont constamment décru sans que ce phénomène n'ait été pris en considération.
Il n'est donc pas indispensable de réinventer la roue, même si la créativité, l'inventivité et la disposition au changement sont nécessaires. Le passage à la post-croissance est inévitable ; il serait préférable d'y , comme le pointe l'économiste canadien , par la voie du dessein plut?t que par celle du désastre.
Mais ces institutions et ces politiques ont été fa?onnées à une époque de croissance économique soutenue et de croyance en sa perpétuité. Aussi suffit-il que la [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] croissance marque le pas, voire tende vers zéro, pour qu'elles plongent dans une crise existentielle débouchant sur le désordre et social.
L'explication de John W. Kingdon concernant l'action politique (Agendas, Alternatives, and , Editions, , [url=http://www.58fx.net/fx/home.php?mod=space&uid=38279][/url] 2002) pourrait être ici pertinente : pour que les politiques changent, il faut une conjonction entre la "notoriété publique" de la nécessité de changement et l'existence de solutions au problème rencontré.
On débat également de la possibilité d' aux banques d'affaires la faculté de créer de l'argent, en remettant ce monopole dans les mains des banques centrales, et de ainsi un meilleur contr?le de l'expansion de la masse monétaire.
Enfin, la dette publique est montée en flèche, amenant divers pays à la limite de la banqueroute. Les problèmes environnementaux empirent, mettant en péril la vie des hommes ainsi que celle d'autres espèces.
LES OPINIONS DIVERGENT
ENLEVER AUX BANQUES D'AFFAIRES LA [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] FACULT? DE CR?ER DE L'ARGENT
Malgré cela, politiciens, économistes et représentants du monde des affaires continuent à à la croissance économique. Cela est renforcé par les . En particulier, face à la crise actuelle, la reprise de la croissance est considérée comme le but principal.
Ainsi, le défi est d' les approches existantes qui nous permettraient de nous débarrasser de cette dépendance à la croissance, de développer des concepts nous permettant de ces systèmes et de les en oeuvre. Un regard attentif porté sur les secteurs et les institutions, jusqu'ici dépendants d'une croissance perpétuelle, révèle qu'y existent déjà réflexions et expériences tournées vers les réformes.
L'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et la Commission sur la mesure de la performance économique et du progrès établis, sous la [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] houlette du Prix Nobel Joseph Stiglitz, par l'ex-président Sarkozy, témoignent de ce que le produit intérieur brut échoue à le bien-être, comme il est évident que la croissance interfère négativement avec le dans les pays riches.
d'économie en 1972, notait dans un article paru en 1966 ("Growth and Anti-Growth", Oxford Economic Papers 18-3) : "Il n'est en aucune fa?on nécessaire que les économiques visent la croissance. Je me souviens personnellement d'une époque où elles n'étaient absolument pas orientées vers la croissance. Je me revois un cours de principes [économiques]... en 1926-1927. Il n'était en [url=http://www.hhhtga.gov.cn/qshga/E_GuestBook.asp]woolrich b[/url] rien question d'indice de croissance élevé. La stabilité de la [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] majorité des secteurs économiques suffisait à nous ."
Un historien , , date la croissance des pays occidentaux des années 1950 [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] et l'appelle "syndrome des années 1950" ("Das 1950er Syndrom. Die Epochenschwelle der Mensch-Umwelt-Beziehung zwischen Industriegesellschaft und Konsumgesellschaft", GAIA 3-2, 1994).
Dans le même temps, le taux de ch?mage a constamment cr? depuis les années 1970 et la proportion des jeunes (15-24 ans) ch?meurs est de 20 % à 50 % dans bien des pays membres de l'OCDE.
De plus, dans la majorité des pays membres de l'OCDE, les écarts de revenus ont augmenté au cours des trente dernières années. Cela a amené les trois principales organisations économiques internationales, l'OCDE, le Fonds monétaire et la Banque mondiale à en faveur d'une réduction de la fracture sociale.
Par exemple, des années de discussions ont balisé dans le secteur de la santé des pistes permettant de [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] la réduction des dépenses sans la qualité des soins. Nous pouvons aussi nous sur les expériences réalisées par des coopératives ou des fondations promues au rang d'entités légales dans le monde [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] de l'entreprise et, en tant que telles, bien moins soumises à la nécessité de croissance que les entreprises cotées en .
Mais cette addiction du système à la croissance économique ne suffit pas à pourquoi celle-ci est si ardemment [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] recherchée. Qu'est-ce [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] qui nous empêche de des mesures pour nous débarrasser de notre [url=http://www.slgwie.com/html/15.html]hollister Comment protéger ses salariés dans les[/url] addiction à la croissance ?
Nous savons aussi qu'une réforme écologique de l'imp?t permettrait de peser celui-ci sur les au lieu de le co?t du travail, et permettrait d' le nombre d'emplois.
Mais les opinions relatives aux fa?ons de cette croissance [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] lorsque les caisses sont vides divergent, si tous s'accordent cependant sur le fait d' la croissance à un niveau suffisant pour régler les problèmes évoqués plus haut. Les voix mettant en question la validité de cette hypothèse sont difficilement audibles voire ignorées au profit d'une exaltation des taux de croissance des pays émergents montrés comme modèles.
Considérons l'assurance-vieillesse. Si les fonds de pension ont des difficultés à dégager un profit suffisant du fait du ralentissement de la croissance, les pensionnés deviennent très nerveux. L'industrie des biens de consommation offre un autre exemple : lorsque la sécurité de l' diminue, les gens réduisent leur consommation.

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