nike air jordan pas cher Croissance les économi

Le décalage entre les discours des politiques et les des économistes est banal, mais il a pris un relief particulier depuis l'élection de , qui a fait du volontarisme l'une des marques de fabrique de sa campagne, de son gouvernement et de sa .
Tel était le sens des entretiens de Christine Lagarde au Parisien et à France 2 sur l'absence de krach, ou des propos tenus dans nos colonnes par M. Fillon sur sa confiance dans l'économie fran?aise.
Les économistes [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] [url=http://www.theinvesture.com/bbs/forum.php?mod=viewthread&tid=7959]hollister Stuck For Ideas With Your School Scrapbook Here's A Few...[/url] de banques ne sont guère plus optimistes. Dans la foulée des chiffres décevants de l'Insee sur la [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] progression du produit intérieur brut (PIB) au deuxième trimestre (+0,3 %), qui ont surpris tout le monde, le Crédit agricole a réajusté ses prévisions de manière draconienne : +1,8 % au lieu de +2,3 % en 2007, +2 % au lieu de +2,5 % en 2008.
"Pour les économistes, l'état de gr?ce du président Sarkozy n'aura pas duré cent jours", écrit, lundi 20 ao?t, Alexander Law, chef économiste de Xerfi, résumant l'état d'esprit général. Sa prévision de croissance pour 2007 tourne désormais "au mieux autour de 1,75 %, soit 0,5 point de moins que l'hypothèse [url=http://www.osterblade.com]moncler sito ufficiale[/url] sur laquelle a été b?tie le budget de l'Etat".
A quelques exceptions près, dont celle de [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] l'Observatoire fran?ais des conjonctures économiques (OFCE), la majorité d'entre eux pense que la croissance fran?aise ne pourra pas dépasser les 2 % cette année, et tous revoient [url=http://cgi.ebay.com.au/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=140732749694]hollister René Couanau, déput[/url] leurs prévisions pour 2008.
que le gouvernement et les économistes fran?ais ne sont pas en phase ! Alors que le premier ministre, Fran?ois Fillon, affirme au Monde sa conviction que l'objectif d'une croissance de 2,25 % en 2007 "reste atteignable", les instituts de conjoncture s'engagent, les uns après les autres, dans une révision à la baisse de leurs prévisions.
S' AUX FAIBLESSES [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] STRUCTURELLES
"Quand on veut, on peut" : telle semble [url=http://www.izu.co.jp/~kiryuu/cgi/romakura/gestbook/aska.cgi]hollister sale Deux enseignan[/url] être la devise du président de la République et de ses ministres. En cette rentrée morose, qui co?ncide avec les cent premiers jours de Nicolas Sarkozy à l'Elysée, ils restent persuadés, malgré le scepticisme de nombreux économistes de droite et de gauche, que le "paquet fiscal" voté cet été – détaxation des heures supplémentaires, bouclier fiscal à 50 %, etc. – aura des effets bénéfiques sur la croissance dès le second semestre de cette année.
BNP Paribas, qui se livre au même exercice, prévoit une croissance inférieure à [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour france paris[/url] 2 % cette année et légèrement supérieure en 2008. Natixis a baissé de 0,2 point à 2 % sa prévision pour 2007, et, crise des "subprime" [ hypothécaires à risque] oblige, s'attend à une croissance encore plus molle l'an prochain (1,8 %).
Asterès a procédé à des réajustements continus cette année et table désormais sur 1,8 % en 2007 et 2 % en 2008. L'OFCE, enfin, qui pariait sur une croissance au-dessus du potentiel (2,2 [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister[/url] %), révisera légèrement à la baisse ses prévisions fin ao?t-début septembre.
Malgré la censure du Conseil constitutionnel sur l' à l'accession à la propriété, qui contraint le gouvernement à au point un dispositif complémentaire, le chef de l'Etat et le premier ministre continuent donc d' et leur confiance et leur volontarisme pour des raisons politiques évidentes – il ne faut pas accréditer l'idée de la fin de l'état de gr?ce – mais aussi pour éviter qu'un délétère ne vienne s' à la croissance molle, à la panne de l'investissement des et des créations d'emplois, aux turbulences boursières mondiales.
Mais au-delà [url=http://www.jeremyparendt.com/Hollister-b5.php]hollister[/url] de ces considérations tactiques voire psychologiques, le gouvernement entend aussi s' aux faiblesses structurelles de [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour deutschland[/url] l'économie fran?aise : une croissance que Philippe Waechter (Natixis Asset Management) juge très dépendante de la des ménages et pas assez tirée, comme [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour pas cher soldes[/url] en , [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] par la compétitivité des entreprises, la dégradation continue de notre commerce extérieur ou, encore, la panne inattendue de l'investissement des entreprises au deuxième trimestre, dans lequel Mathieu Kaiser (BNP Paribas) voit un des effets retard de la dégradation du taux de marge des entreprises depuis 2002.
Selon M. Fillon, le conseil des ministres de rentrée, vendredi 24 ao?t, sera précisément l'occasion de sur "les réformes structurelles nécessaires [url=http://www.osterblade.com]moncler outlet[/url] pour améliorer la compétitivité", parmi lesquelles figure l'élargissement du crédit d'imp?t recherche.

The post has been approved 0 times